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Le Lot possède un potentiel incontesté en matière d’agriculture. Noix, truffes, melon, agneau fermier, safran, vin, foie gras, fromage de Rocamadour… sont autant de produits dont la renommée dépasse les limites du département.
Dans le but de préserver la qualité de ces productions, le Département du Lot s’engage pour le maintien de l’activité agricole lotoise en se consacrant à l’accompagnement des nouveaux agriculteurs, au développement des filières de qualité.
A travers le Laboratoire départemental d’analyses et les exonérations et réductions du coût des analyses en santé animale prises en charge par le Département, la collectivité agit pour le maintien de l’état sanitaire du cheptel et pour la réduction des charges sur l’élevage lotois.
Le Département intervient également au profit de la promotion des produits du Lot.

Ce jour-là, comme toutes les semaines du mardi au vendredi, Pascal Persouyre, le boulanger de Latronquière, est venu livrer 16 pains au collège voisin. Ses pains tradition, spécialement pétris, sont destinés aux 90 élèves de l’établissement et aux 90 autres des écoles alentour. Et ils sont 100 % lotois: la farine, moulue à la minoterie Thamié à Mayrinhac-Lentour, est fabriquée avec du blé récolté à Montcuq.

[MISE A JOUR 7 MARS 2025 ] Après des épisodes de gel à répétition en 2017, 2019, 2021 et 2024, après la sécheresse en 2022 et après le mildiou en 2023, le Département du Lot a mis en place un fonds d’adaptation agricole au changement climatique : une enveloppe d’un million d’euros pour aider les vignerons, les producteurs de noix, de prune ou de châtaignes à faire face aux aléas climatiques.

En matière de lutte contre les espaces embroussaillés, le Département innove. Il s’est porté acquéreur à l’amiable, par l’intermédiaire de la SAFER, d’une propriété agricole de 41 ha, à Saint-Médard. Un projet trois en un : le but est de lutter contre l’enfrichement de ces terrains (qui aggrave les risques d’incendie), de préserver leur vocation agricole (en évitant la spéculation) et de permettre l’accès au foncier à des porteurs de projets agricoles, n’ayant pas les moyens d’acheter des terres, en leur mettant à disposition ces espaces à travers la signature de baux à long terme.